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Les efforts des pays occidentaux pour reconnaître la Palestine, qui ont eu lieu dans un contexte de pression croissante sur Israël en raison de la situation à Gaza. En particulier, de telles démarches ont été entreprises par le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et la France.

Isolement diplomatique d’Israël

Selon Alexandre Moussienko, les actions coordonnées des États occidentaux pourraient approfondir l’isolement diplomatique du Premier ministre israélien Netanyahou.

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Cependant, malgré cela, la reconnaissance de l’État palestinien n’a pas arrêté les actions militaires contre le « HAMAS ». Selon lui, c’est avant tout un geste symbolique de soutien à l’autodétermination palestinienne, tandis que la situation réelle sur le terrain reste inchangée. Israël continue de lutter pour sa sécurité.

Contexte historique

L’expert a rappelé que la Palestine a proclamé son indépendance dès 1988, obtenant la reconnaissance de plus de 80 pays, y compris l’URSS et la RSS d’Ukraine. Néanmoins, il constate que cet événement n’a pas modifié le cours général des événements dans la région.

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Impact des événements sur la politique mondiale

Selon Moussienko, les événements actuels pourraient détourner l’attention de l’Ukraine, ce qui, selon lui, est avantageux pour les autorités russes. Les pays occidentaux, tels que le Royaume-Uni et la France, s’impliquent moins dans les affaires du Moyen-Orient, mettant l’accent sur les questions européennes. Ainsi, ils se tournent vers des problèmes plus compréhensibles, oubliant des situations plus complexes liées à la guerre en Ukraine.

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L’envers de la médaille

De plus, la situation ukrainienne nécessite de l’attention, mais les Européens sont plus enclins à discuter des questions du Moyen-Orient. Alexandre Moussienko résume que l’évitement des conflits locaux pourrait être l’une des raisons incitant les pays occidentaux à agir ainsi.

 

 

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