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Le 22 septembre 2025, des manifestations massives ont lieu en Italie contre les actions d’Israël à Gaza. Dans différentes villes du pays, des centaines de milliers de personnes se rassemblent, attirant l’attention des médias locaux.

Manifestations dans de nombreuses villes

L’agence Reuters rapporte que lors des rassemblements matinaux au port de Gênes, certains manifestants brandissaient le drapeau palestinien. Selon RaiNews, au moins 100 000 personnes sont sorties en soutien au « peuple palestinien » dans plus de 75 villes italiennes. Les participants à l’action comprenaient des membres de syndicats et des étudiants. Les manifestations ont touché un nombre important de villes, telles que Milan et Bologne, où la situation reste critique.

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À Rome, l’une des marches les plus massives a lieu, avec plus de 50 000 participants. Les étudiants ont bloqué la faculté des arts de l’Université La Sapienza. À Venise, plus de 20 000 manifestants sont descendus dans les rues pour soutenir les citoyens palestiniens.

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Réaction politique

Lors des actions à Turin et Naples, les manifestants ont brûlé des affiches de la Première ministre italienne Giorgia Meloni et du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. À Bolzano, les manifestants ont enduit de peinture rouge l’entrée de la mairie et écrit « 22 vers », en référence aux députés qui se sont abstenus lors du vote sur la résolution concernant Netanyahu.

Giorgia Meloni a condamné les actions des manifestants, soulignant qu’elles « ne changeront pas la situation à Gaza et peuvent nuire à la société italienne ». Elle a indiqué que « la violence et les destructions n’amélioreront pas la vie des gens à Gaza, mais en fin de compte, ce sont les citoyens italiens qui souffriront de ces dommages ». Meloni a exprimé l’espoir d’une condamnation claire des actions de la part des organisateurs et des partis politiques.

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Situation à Gaza

La situation à Gaza reste tendue. Le 16 septembre, l’armée de défense israélienne a lancé une offensive terrestre sur le secteur. Auparavant, Tsahal avait exhorté les habitants locaux à quitter la ville, et environ 300 000 personnes se sont déjà déplacées vers le sud dans des « zones humanitaires ». Le 17 septembre, Israël a déclaré avoir détruit 25 « tours terroristes » et a averti de la poursuite des frappes.

Réaction mondiale

Le ministre de la Défense israélien Israël Katz a noté que l’objectif principal de l’opération est de neutraliser les menaces de la part du Hamas et de détruire leur infrastructure militaire, ce qui a été la raison du déplacement de la population civile.

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Le président français Emmanuel Macron a critiqué les actions d’Israël, déclarant qu’elles sapent l’image internationale du pays. À la veille de la session annuelle de l’Assemblée générale de l’ONU, plusieurs pays, dont le Canada et le Royaume-Uni, ont confirmé leurs intentions de reconnaître l’État palestinien.

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