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En Europe, on murmure à nouveau dans les couloirs — trop fort pour ne pas entendre. Bruxelles envisage de fermer l’air aux Russes : les visas multiples appartiennent au passé. C’est ce qu’écrit Politico, en se référant à des personnes qui savent comment les décisions sont prises — généralement sans caméras ni protocole.

Si le document est adopté, il ne restera qu’une entrée unique. Une fois — et c’est tout. À l’exception de ceux qui viennent pour sauver, soigner, ou de ceux qui ont un passeport européen dans leur poche. Pour les autres — une courte visite et aucune certitude d’être admis à nouveau.

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Il y a une irritation dans l’air. L’Europe est fatiguée de faire semblant que rien ne se passe, alors qu’à l’est la guerre fait rage.

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Bruxelles change de ton — plus de concessions

Ce n’est pas une formalité. C’est un nerf.
La restriction des visas est devenue un symbole : une réponse aux missiles, aux meurtres, aux villes détruites d’Ukraine. L’UE ne peut pas simplement « tout interdire » — juridiquement impossible. Mais on peut serrer la vis. Et ils la serrent déjà.

L’accord de facilitation des visas est mort à la fin de 2022. À l’époque, cela ressemblait à un geste diplomatique. Maintenant — à une frontière morale. Les pays baltes ont fermé les portes depuis longtemps. Les autres hésitent, mais le vent souffle dans une seule direction — loin de Moscou.

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Des chiffres qui laissent entrevoir une pause

En 2024, les Russes ont tout de même obtenu plus d’un demi-million de visas. Cela semble beaucoup — jusqu’à ce qu’on se souvienne qu’avant la guerre, il y en avait presque huit fois plus. Le monde s’est rétréci.

Il y a, bien sûr, des exceptions. La Hongrie, la France, l’Espagne, l’Italie — des pays où l’on sourit encore dans les consulats. Mais dans l’ensemble, le flux se refroidit. L’Europe ferme les yeux — et les portes.

Et de plus en plus souvent, la question se pose : n’est-il pas temps d’arrêter d’accueillir ceux qui font semblant que rien ne s’est passé ?

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