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Le 26 septembre 2025, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a pris la parole à l’Assemblée générale de l’ONU, déclarant le refus catégorique du pays de l’idée de créer un État palestinien. Il a souligné qu’une telle perspective menace la sécurité d’Israël et compromet ses intérêts nationaux.

Principaux points du discours

Netanyahu a déclaré que les actions militaires contre l’organisation terroriste « HAMAS », reconnue comme telle aux États-Unis et dans l’UE, se poursuivront jusqu’à l’élimination complète de la menace. Cette déclaration est intervenue peu après que plusieurs pays, dont la France et le Royaume-Uni, ont reconnu la Palestine comme un État indépendant. Le Premier ministre a qualifié cette décision de « honteuse », ajoutant qu’elle envoie un signal clair aux Palestiniens que la violence contre les Juifs est récompensée.

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Refus des menaces

Le Premier ministre a noté qu’Israël ne permettra pas qu’un État terroriste lui soit imposé et qu’il défendra son avenir face à la pression extérieure, comme en témoignent ses mots : « Nous nous défendons et notre avenir ».

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Réaction de la partie palestinienne

Le 25 septembre, Mahmoud Abbas, président de l’Autorité palestinienne, a pris la parole par vidéoconférence, condamnant l’attaque du « HAMAS » contre Israël le 7 octobre 2023 et exprimant son rejet de l’antisémitisme. Cependant, Netanyahu a qualifié l’Autorité palestinienne de « corrompue », remettant en question son potentiel dans les négociations pour mettre fin au conflit à Gaza.

Discussion sur l’annexion

Le sujet de l’annexion de la Judée et de la Samarie n’a pas été abordé dans le discours de Netanyahu. Pour sa part, le président américain Donald Trump, qui promeut son plan de résolution du conflit israélo-palestinien lié au désarmement du « HAMAS », a averti le 25 septembre qu’il ne permettra pas l’annexion de cette région.

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Coopération avec les États-Unis

Malgré les divergences avec Trump, Netanyahu a souligné l’importance de la coopération avec Washington, mentionnant les commentaires positifs du président américain concernant les accords préliminaires de cessez-le-feu à Gaza.

Protestations pendant le discours

La délégation iranienne a boycotté le discours de Netanyahu, exposant sur sa table des photos des victimes des frappes aériennes israéliennes sur l’Iran, survenues en juin de cette année. Pendant le discours, plusieurs délégations ont quitté la session de l’Assemblée générale de l’ONU. Néanmoins, ses paroles ont été accueillies par des applaudissements de la part des représentants de nombreux États.

Motif d’accusations

Le mécontentement concernant la situation à Gaza s’intensifie. Netanyahu a rejeté les accusations de génocide contre Israël, affirmant que l’armée avertit les civils des frappes à venir. Cependant, les organisations internationales soulignent que le déplacement massif de la population constitue une violation du droit humanitaire. Selon l’ONU, presque tous les habitants du secteur ont été contraints de quitter leurs maisons.

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Conclusion du discours

À la fin de son discours, Netanyahu s’est adressé aux prisonniers et à leurs familles, exprimant une gratitude inébranlable :

« Nous ne vous avons pas oubliés un seul instant. Israël obtiendra le retour de tous – vivants comme morts ». Ses paroles ont été diffusées à Gaza par haut-parleurs, espérant que les prisonniers entendraient son message.

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