Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a chargé Tsahal et les services de sécurité de prendre des mesures décisives contre les cibles terroristes dans la bande de Gaza. Cela s’est produit après la violation du cessez-le-feu à Rafah.
Violation de la trêve
Netanyahu a donné cette directive lors d’une réunion avec le ministre de la Défense Israël Katz et les chefs des services de renseignement. Selon Tsahal, des terroristes palestiniens ont ouvert le feu sur les forces israéliennes dans la région de Rafah. La réponse a été des frappes aériennes.
Le 17 octobre, l’armée israélienne a annoncé avoir éliminé des militants qui sortaient d’un tunnel dans la région de Khan Younès. Ces actions ont été considérées comme une menace immédiate.
Plus tôt le même jour, des militants avaient également été aperçus à Rafah, ouvrant le feu sur les troupes israéliennes. Aucun blessé n’a été signalé.
Contexte et conséquences
Contexte du conflit
Le 10 octobre, les troupes israéliennes ont achevé la première étape du retrait des forces dans la bande de Gaza. Cela faisait partie du plan du président des États-Unis. Le Hamas devait libérer les otages israéliens, et Israël devait libérer les prisonniers palestiniens.
Le 13 octobre, le Hamas a libéré les 20 derniers otages israéliens. Cependant, le retour des corps des défunts s’est poursuivi. Le même jour, un accord de cessez-le-feu a été signé.
Réaction de la communauté internationale
Après la signature de l’accord, le Hamas a publié une vidéo de l’exécution de huit personnes qualifiées de « collaborateurs ». Le président des États-Unis a qualifié cela de « normal », tandis que l’Autorité palestinienne a condamné les exécutions.
Le lendemain, la deuxième phase du plan de paix pour Gaza a été annoncée.
La situation dans la région reste tendue, et chaque action provoque une réaction en chaîne. Dans ce nœud complexe d’intérêts et de contradictions, chaque pas compte.
